Carte blanche au collectif « Elles font des films » : Le documentaire, un outil libérateur ?
Dans le cadre du Mois du Doc, le Delta offre une carte blanche au collectif Elles font des films.
Trois documentaires vous sont proposés et seront accompagnés d’un échange/débat animé par l’asbl « Elles tournent ».
En parallèle, des activités encadrées (ateliers, projections et spectacle « Mimixte« ) sont prévues pour les 4-12 ans, pour un super dimanche en famille!
Le collectif Elles font des films a été créé il y a deux ans pour donner une visibilité aux femmes gravitant dans le monde du cinéma mais aussi faire levier pour diminuer les inégalités structurelles.
14h > La Place de l’homme (en présence de la réalisatrice)
2017, documentaire, 60 min, Belgique
Réalisé par Coline Grando
Des hommes de vingt à quarante ans confrontés à une grossesse non prévue le plus souvent interrompue, dévoilent leurs ressentis .
Pour voir ce contenu, vous devez mettre à jour les paramètres de vos cookies et accepter les "Cookies marketing (optionnels)".
15h10 > Chez Jolie coiffure
2018, documentaire, 70 min, Belgique
Réalisé par Rosine Mbakam
Le parcours migratoire de Sabine commence au Cameroun dans les agences de recrutement pour femme de ménage au Liban. Sabine séjourne au Liban où elle est réduite en quasi esclavage. Elle quitte le Liban pour la Belgique. Elle arrive au quartier Matongé à Bruxelles où elle est gérante d’un salon de coiffure en attendant que sa situation se régularise.
Pour voir ce contenu, vous devez mettre à jour les paramètres de vos cookies et accepter les "Cookies marketing (optionnels)".
16h30 > Sans frapper
2019, documentaire, 83 min, Belgique
Réalisé par Alexe Poukine
Ada a dix-neuf ans. Elle accepte d’aller dîner chez un garçon qu’elle connaît. Tout va très vite, elle ne se défend pas. C’est en 2013, à la fin d’une projection de son premier film qu’ Alexe Poukine la rencontre : une femme de son âge qui lui relate une histoire advenue neuf ans auparavant, dont elle ne sait que faire. Habitée désormais par ce récit et ses implications, la cinéaste se confronte à la discrépance entre ses a priori sur le viol et le constat que nombre de ses proches ont subi une expérience similaire.
Pour voir ce contenu, vous devez mettre à jour les paramètres de vos cookies et accepter les "Cookies marketing (optionnels)".
Les séances sont accessibles gratuitement dans la limite des places disponibles.
Merci de vous présenter à l’entrée de la salle quelques minutes avant le début de la séance, les retardataires ne seront pas admis à l’intérieur afin d’assurer un confort de visionnage pour tous.
Le présent site internet place des cookies. Les cookies essentiels et fonctionnels sont nécessaires au bon fonctionnement du site Internet et ne peuvent pas être refusés. D’autres cookies sont utilisés à des fins statistiques (cookies d’analyse) et ne seront placés que si vous en acceptez le placement. Consultez notre politique en matière de cookies pour en savoir plus.