Le cycle de cinés d’été de juillet « Sur quel pied danser? » vous propose de voter pour le film que vous souhaitez voir entre les deux propositions que nous vous faisons, où ça danse de toute façon!

Le film qui remportera la majorité de votes sera projeté, bien entendu, mais au mieux vous verrez le film que vous avez plébiscité, au pire vous vous laisserez surprendre et emporter par le film que vous n’attendiez pas! En somme, à part un bon moment de cinéma, vous ne risquez pas grand chose, sinon de danser sur votre transat!

Le 30 juillet, pour clore le cycle, on vous offre de l’amour, de la douceur et du tango, avec deux jolis films francophones, tout en émotion et en intelligence, dans lesquels les protagonistes incarnés respectivement par les excellents comédiens François Damiens et Patrick Chesnais, tombent amoureux en prenant des cours de tango…Le duel s’annonce serré, entre :

• Tango Libre, film belge de 2012 réalisé par Frédéric Fonteyne, avec François Damiens, Anne Paulicevich et Sergi López. Le film dure 1h37.

JC, gardien de prison, est un homme sans histoires. Sa seule fantaisie, le tango, une fois par semaine. Un soir de cours, il danse avec une nouvelle, Alice, la trentaine radieuse, mère d’un ado de 15 ans. Le lendemain, il revoit cette femme au parloir de la prison. Elle rend visite à deux prisonniers, Fernand et Dominic, deux vieux complices de toujours. L’un est son mari, l’autre son amant. JC, l’homme sans histoires, se retrouve spectateur d’une femme avec trop d’histoires. Une femme qui vit au gré de ses envies et selon ses propres règles, partagée entre ses hommes et son fils. Le règlement de la prison interdit aux gardiens de côtoyer la famille des prisonniers. JC va transgresser toutes les règles qui définissaient sa vie…

• Je ne suis pas là pour être aimé, film français de 2004, réalisé par Stéphane Brizé, avec Patrick Chesnais et Anne Consigny. Le film dure 1h33.

50 ans, huissier de justice, le cœur et le sourire fatigués, Jean-Claude Delsart a depuis longtemps abandonné l’idée que la vie pouvait lui offrir des cadeaux. Jusqu’au jour où il s’autorise à pousser la porte d’un cours de tango…